Du 2 au 5 novembre 2018 – Dédicaces et tables rondes au Salon du livre de Rimouski!

Je serai au Salon du Livre de Rimouski du vendredi 2 au dimanche 4 novembre 2018 pour parler d’écriture et de traduction – plus particulièrement de NoirEs sous surveillance, formidable essai coup de poing de Robyn Maynard (éditions Mémoire d’encrier), et de Birdie, premier roman lyrique et rugueux de Tracey Lindberg (Éditions du Boréal), que j’ai traduits cette année.

 

Tables rondes

  •  NoirEs sous surveillance

Mezzanine Radio-Canada, vendredi 2 novembre, 16h30

  • La traduction au Québec, un art littéraire

Mezzanine Radio-Canada, samedi 3 novembre – 17h30

 

Séances de dédicaces

  • Birdie (Boréal, kiosque 81-82)

Samedi 2 novembre, 18h30–19h30

  • NoirEs sous surveillance. Esclavage, répression et violence d’État au Canada. (Mémoire d’encrier, kiosque 6)

Vendredi 2 novembre 2018, 17h30–18h30
Samedi 3 novembre 2018, 16h30–17h30
Dimanche 4 novembre 2018, 12h–13h

Programmation complète ici : http://www.salondulivrederimouski.ca/salon-2018/informations-generales

Lancement de «NoirEs sous surveillance»

 

«Ce livre raconte une histoire du Canada qu’on n’a jamais osé nous raconter.»

— Rodney Saint-Éloi, éditeur, directeur général de Mémoire d’encrier.

 

Ce soir aura lieu à la librairie Racines le lancement de NoirEs sous surveillance, le formidable essai coup de poing de Robyn Maynard (Policing Black Lives en VO anglaise) que j’ai eu le bonheur et le privilège de traduire pour la splendide maison d’édition Mémoire d’encrier.

Un livre qui nous ouvre les yeux grands comme le monde sur le racisme anti-Noirs au Canada. Une bonne claque dans notre aveuglement collectif, un essai brillant qui se lit comme un roman.

Grand Prix du Grand concours littéraire de l’Université de Sherbrooke… pour la deuxième année consécutive!

Quel honneur… et quel plaisir! Je viens de remporter le Grand Prix du Grand concours littéraire de l’Université de Sherbrooke 2017-2018 avec ma nouvelle intitulée Et si, gentiment. Cette année, la contrainte imposée aux auteurs et autrices participant.e.s consistait à s’inspirer d’une photographie d’André Le Coz, dont toutes les archives ont été confiées à l’Université de Sherbrooke. Pour Et si, gentiment, je me suis inspirée d’une photographie de scène de Le Coz montrant la comédienne Monique Spaziani dans Un reel ben beau, ben triste, une pièce de Jeanne-Mance Delisle présentée au Théâtre du Nouveau Monde de Montréal en 1981.

Un grand honneur et un immense plaisir… « prise 2 », pour ainsi dire, puisque j’ai également remporté le Grand Prix du Grand concours littéraire de l’Université de Sherbrooke en 2016-2017 avec Toute la beauté du monde, une nouvelle inspirée d’une œuvre du sculpteur québécois de renommée internationale Michel Goulet, Un monde en soi. Cette création splendide veille avec majesté sur le pavillon de l’Université de Sherbrooke à Longueuil, où j’étudie actuellement à la maîtrise en Prévention et règlement des différends (PRD).

Pour lire mes deux nouvelles gagnantes, c’est par ici…

Et si, gentiment, Grand Prix du Grand concours littéraire de l’Université de Sherbrooke 2017-2018

Toute la beauté du monde, Grand Prix du Grand concours littéraire de l’Université de Sherbrooke 2016-2017

 

Voir aussi cet article dans Les Nouvelles de l’Université de Sherbrooke : https://www.usherbrooke.ca/dd-culture/concours-litteraire/

[Photo : UdeS – Michel Caron]